1 février 2011
c'est la vie
Dans « le Voyage de M. Perrichon » de Labiche, deux prétendants veulent la main de la fille de M. Perrichon. Au cours d’un séjour en montagne, l’un sauve la vie à M. Perrichon, et M. Perrichon sauve la vie à l’autre.
C’est évidemment le second qui aura ensuite la préférence de M. Perrichon :
« Vous me devez tout, tout ! Je ne l’oublierai jamais ! »
Outre que c’est très drôle, c’est admirablement vu : nous préférons tous celui qui nous est redevable à celui à qui nous sommes redevables.
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