14 mars 2009
Jamais un sans deux.
Pour moi, il y a clairement un lien de parenté entre Benoît Brisefer et Sangoku !
Le charme de ces deux personnage est le même : la force surhumaine chez un enfant serviable et candide, qui amène des situations drôles et réjouissantes.
Il y a encore un autre point commun entre ces deux BD : c'est une certaine fascination pour des bolides futuristes, pour une technologie au service de la vitesse et de la puissance… Chez Benoît Brisefer, on peut rattacher ça au « style atome ».
Publicité
Publicité
Commentaires
W
S
M
C
L