7 octobre 2011
ode funèbre
Bien que Mozart ne fasse pas partie des compositeurs que j’admire le plus, il y a un air de lui qui me hante depuis 1992 avec toujours la même obstination : c’est la « Meistermusik » Köchel 477.
Ce morceau pour chœur d’hommes et orchestre a été composé pour une occasion maçonnique. Il a d’ailleurs été repris plus tard par Mozart dans une version sans chœur, célèbre sous le titre d’ « ode funèbre maçonnique ».
Les paroles en latin sont extraites de la bible (Lamentations 3 : 15,54) :
Il me sature d’amertumes, il m’enivre d’absinthe.
Les eaux débordent sur ma tête ; je dis : je suis perdu !
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